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Palais Lumière, Évian
Œuvres de la Collection Sandretto Re Rebaudengo
Avec cette exposition, la ville d’Evian a choisi d’explorer un thème qu’elle connaît particulièrement bien, celui de l’eau.
L’exposition présentera une sélection de travaux réalisés par 18 artistes internationaux qui, par le biais de différents médias (sculpture, installation, vidéo, photographie, peinture) se confrontent au thème de l’eau à travers une approche du sujet très différente – du naturel à l’artificiel, et de leur vision des paysages à la forme humaine. Les artistes de l’exposition passent d’une approche ludique à une déclinaison catastrophique de l’élément de l’eau.
Karen Kilimnik, « Fontaine de Jouvence » (« Cleanliness is Next to Godliness »), 1992
Courtesy Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Torino
Carsten Höller présente un mammifère cétacé en « Balena Bianca » et une autre réalisation intitulée « Véhicule », une sculpture composée de deux énormes roues dans lesquelles il a pendu ses chemises comme des voiles colorées qui peuvent être poussées par le vent et jouent de leur reflet sur l’eau. Jouant avec l’idée d’une méduse transparente ayant pour signification le transport, Nobuko Tsuchiya insiste pour nous emmener dans un voyage imaginaire à la découverte des océans. L’artiste italien Flavio Favelli au contraire, montre de rares coquilles et coraux, comme témoins de la façon dont l’homme détruit l’environnement. Ce thème est également défendu par l’artiste Fiona Tan dans les scènes de sa vidéo poétique et également dramatique qui crée le suspens et la tragédie imminente, par l’évocation d’inondations extrêmes et d’ouragans résultant du désastre de l’environnement.
La fonte des icebergs est le sujet de la vidéo de Doug Aitken, qui offre des images de beauté et de terreur d’un monde en changement constant, alors que les travaux de Charles Ray, intitulés « Viral Recherche » mettent en scène des formes virales à travers une table en verre transparente sur laquelle des bouteilles et des cruches de tailles différentes sont placées, contenant un liquide noir qui flotte dans des récipients à l’aide d’une série de tubes connectés entre eux. Il existe une corrélation romantique entre le littoral italien noir d’Andrea Abati et celui de la liaison entre le corps humain et les liquides qu’ils produisent démontrés dans les photographies de Noritoshi Hirakawa.
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