« LES TISSEURS DE SILENCES », UN LIVRE DE SOIZIC MICHELOT ET PHILIPPE FILLIOT
La résistance contemplative dans l'art contemporain
L’intervention artistique dans le champ écologique vise moins désormais à donner figure au globe, qu’à désorienter une référence devenue trop consensuelle à l’environnement.Face à des gouvernants tentés de jouer les droits de la terre contre ceux qui la peuplent, l’enjeu est d’inventer, au ras du sensible, une géo-politique.
En octobre 2004, lors de la réunion annuelle de l’Environmental Grantwriters Association, paraît un rapport intitulé « The Death of Environmentalism : Global Warming Politics in a Post-Environmental World » (« La mort de l’environnementalisme : la politique du réchauffement planétaire dans un monde post-environnemental ». Fondé sur des interviews de dizaines de dirigeants d’organisations écologistes américaines ainsi que sur l’équivalent de plusieurs années d’enquêtes d’opinion publique, ce rapport affirme que l’écologie a cessé d’être un mouvement social viable en Amérique : il est désormais perçu comme un groupe de pression parmi d’autres, défendant ses intérêts particuliers à Washington D.C. Selon le rapport, les écologistes ne recourent plus qu’au langage de la science et ne proposent plus rien d’autre que des solutions techniques.
Consultez la suite de l’article ICI
McKee, Yates. « l’art et les fins de l’écologie. de la « Terre en danger » au droit à la survie », Vacarme, vol. 34, no. 1, 2006, pp. 141-147.
La résistance contemplative dans l'art contemporain
La Société Française d’Ecologie et Evolution vous propose ce ‘regard’ sur les réponses des espèces et communautés écologiques aux changements…
Découvrez les quatre carnets de navigation des traversées de L'Étang de Berre, regroupant récits, jeux et textes d'auteurs sur cet…